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Home -- French -- John - 107 (Jesus questioned before Annas and Peter's threefold denial)
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JEAN - La lumière luit dans les ténèbres
Etudes de l'Evangile de Christ selon Jean

PARTIE 4 - La lumiere triomphe des tenebres (Jean 18:1 – 21:25)
A - Evenements depuis l’arrestation jusqu’a la mise au tombeau (Jean 18:1 - 19:42)

2. Interrogatoire de Jésus par Anne et triple reniement de Pierre (Jean 18:15–21)


JEAN 18:15-18
15 Simon Pierre, avec un autre disciple, suivait Jésus. Ce disciple était connu du souverain sacrificateur, et il entra avec Jésus dans la cour du souverain sacrificateur; 16 mais Pierre resta dehors près de la porte. L'autre disciple, qui était connu du souverain sacrificateur, sortit, parla à la portière, et fit entrer Pierre. 17 Alors la servante, la portière, dit à Pierre: Toi aussi, n'es-tu pas des disciples de cet homme? Il dit: Je n'en suis point. 18 Les serviteurs et les huissiers, qui étaient là, avaient allumé un brasier, car il faisait froid, et ils se chauffaient. Pierre se tenait avec eux, et se chauffait.

Il faisait nuit. Jean et Pierre suivirent Jésus de loin. Puisque Jean était un parent du souverain sacrificateur, il put librement entrer dans la cour. Pierre ne put pas le suivre car la porte était gardée par des servantes.

Jean eut pitié de Pierre qui se tenait au dehors et il parla en sa faveur à la portière. Comme elle hésitait, elle demanda à Pierre: «N’es-tu pas aussi l’un des disciples de cette personne?» Il répliqua: «Non!» Et il se comporta comme s’il ignorait tout de l’arrestation, puis il essaya de se réchauffer près du feu.

JEAN 18:19-24
19 Le souverain sacrificateur interrogea Jésus sur ses disciples et sur sa doctrine. 20 Jésus lui répondit: J'ai parlé ouvertement au monde; j'ai toujours enseigné dans la synagogue et dans le temple, où tous les Juifs s'assemblent, et je n'ai rien dit en secret. 21 Pourquoi m'interroges-tu? Interroge sur ce que je leur ai dit ceux qui m'ont entendu; voici, ceux-là savent ce que j'ai dit. 22 A ces mots, un des huissiers, qui se trouvait là, donna un soufflet à Jésus, en disant: Est-ce ainsi que tu réponds au souverain sacrificateur? 23 Jésus lui dit: Si j'ai mal parlé, fais voir ce que j'ai dit de mal; et si j'ai bien parlé, pourquoi me frappes-tu? 24 Anne l'envoya lié à Caïphe, le souverain sacrificateur.

L’interrogatoire préliminaire ne concernait pas la culpabilité de Jésus, sa personnalité et ses déclarations. Il concernait ses disciples et ses méthodes d’enseignement. A cette époque, il y avait de nombreuses sociétés secrètes. Les chefs juifs voulaient savoir s’il y avait un risque de soulèvement de la part de ses disciples afin de pouvoir réprimer toute révolte. Jésus nia l’existence d’une telle société.

De plus, les chefs juifs savaient qu’il avait enseigné librement pendant la journée dans les synagogues et dans le temple, où plusieurs l’avaient entendu. S’ils avaient vraiment voulu le connaître, ils auraient pu appeler ses auditeurs et écouter les détails de ses enseignements et de ses appels. Jésus répondit à l’ancien souverain sacrificateur sans aucune crainte. Tout à coup, l’un des serviteurs, voulant s’insinuer dans les bonnes grâces du sacrificateur, frappa Jésus. Jésus ne rendit pas la pareille et ne manifesta aucune colère. Il ne minimisa cependant pas la gravité de l’offense et poussa le serviteur à expliquer son geste. Puisque Jésus était innocent, le serviteur devait s’excuser ou se repentir.

Ce défi était indirectement lancé à Anne, car il était responsable du comportement du serviteur. Il avait permis l’offense. Ce genre d’accusation est porté aujourd’hui contre quiconque frappe autrui sans raison ou permet à ses partisans d’intimider l’innocent. Notre Seigneur accorde de l’importance aux petites choses; il a dit: «Tout ce que vous ferez aux plus petits d’entre les miens, c’est à moi que vous le ferez.»

Anne réalisa que ses menaces n’avaient aucun effet sur Jésus qui prit la place du juge et remit en question la vérité et la justice. Il l’envoya donc à son beau-fils Caïphe afin de se débarrasser du problème.

JEAN 18:25-27
25 Simon Pierre était là, et se chauffait. On lui dit: Toi aussi, n'es-tu pas de ses disciples? Il le nia, et dit: Je n'en suis point. 26 Un des serviteurs du souverain sacrificateur, parent de celui à qui Pierre avait coupé l'oreille, dit: Ne t'ai-je pas vu avec lui dans le jardin? 27 Pierre le nia de nouveau. Et aussitôt le coq chanta.

Caïphe posa des questions à Jésus sur ses disciples. Deux d’entre eux se trouvaient dans la cour, mais ils n’avaient pas avoué être les disciples du Seigneur. Pierre, à la lumière des flammes, avait l’air d’un étranger et les serviteurs avaient des doutes quant à ses liens avec Jésus. Pierre répondit à nouveau: «Non, non!»

Un de ceux qui le soupçonnaient porta même une accusation contre lui. Tous tournèrent leur regard vers lui, et il commença à transpirer, surtout lorsque le serviteur dit: «Je te connais; tu te trouvais dans le jardin.» L’atmosphère était tendue, car c’était un parent de l’homme dont l’oreille avait été coupée par Pierre. Jean ne donne pas les détails de la réponse de Pierre ni de son reniement de Jésus, mais il confirme la conduite lâche de Pierre, indigne d’un apôtre.

Le chant du coq ressemblait au son de la trompette du jugement aux oreilles de Pierre. Aucun disciple n’était prêt à suivre Jésus jusqu’à la mort. Chacun d’eux avait fui ou péché ou menti ou l’avait renié. Jean ne nous parle pas des larmes et de la repentance de Pierre, mais il souligne le danger de renier notre Seigneur. Le coq chanta trois fois pour avertir Pierre. Chaque fois que nous mentons ou avons peur de confesser notre Seigneur, Dieu fait chanter un coq pour nous avertir. L’Esprit de vérité désire descendre sur nous. Demandons à Jésus une langue qui prononce la vérité, un cœur droit et un esprit sain.

PRIERE: Seigneur Jésus, nous te remercions parce que tu es Vérité, Patience et Majesté. Pardonne-nous nos mensonges et notre exagération. Demeure en nous par ton Esprit afin que nos langues ne prononcent aucun mensonge. Enracine-nous dans ta vérité et enseigne-nous à témoigner en ton nom, humblement, sagement et courageusement.

QUESTION:

  1. Quelle était la relation entre Jésus et Pierre pendant l’interrogatoire chez Anne?

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